背影 朱自清 法语版

求朱自清背影法语版!

很小的时候,还有人记得读朱自清的“后退”,也许是因为年龄尚小,不能真正理解父亲离开朱自清,只是觉得有点酸酸的,涩涩的,长大了,有一件事让我明白了清不朽的说不清的感觉,那是我母亲的...
教室的窗户已被渡上了一层雪白色的“傻男孩的手在上面画一些,仅此一点就能够猜测的温度外,我摇摇头,突然忙着收拾了一些工作纳入囊中,然后一溜快步走了出去......
骑自行车,虽然我是骑自行车边嘟嘟的头发在早上的报纸,不禁缩了缩脖子,寒冷的天气真邪“ ,心情也通常良好的效果,成为了一个巨大的反差,和老师也说一遍,今天早上,真的...然而,幸运的是,家中晚餐,中午就可以吃了,母亲的工艺,在心中的愤怒问他的妈妈了,这对我来说是最大的幸福,想到这一点,我不能帮助,但加快骑行的速度前进...
锁车,总是闻到奇怪的是,今天没有任何味道的菜,什么菜妈妈炒的今天,但是,我并不着急,母亲必须在等着我回家!伴随着我一声“妈妈”,大门是敞开的,奇怪的是通常在家,菜的味道,它的到来,但不是今天,我叫了几声,“妈妈,妈妈,结果出乎我的意料,她说她不在家里,我突然坐在沙发上,原本心情不好,只是在寻找与她的母亲在谈论我的苦恼,但是......眼泪不禁掉下来的心,除了申诉或申诉,不喜欢拥有时间一分一秒过去,通常很长,但到目前为止还没来,我彻底失望了,擦掉眼泪,走出去,稍微碰撞“的大门是敞开的,一个熟悉的身影走了进来,是母亲看到她不要惊慌忙不过来刷身上的土,故事的一绺头发,我抬头一看,看见我,她连忙说:“倩倩,我的母亲走了出来晚了,在路上又堵车,你看,我现在给你你......“我抬头一看,我不知道是多么可怕的脸,瞪着母亲,我的心就像是除了愤怒,别无其他,我没有等到她的母亲后,闯入和去做饭,我不想不想想想后果,一阵阵的眼泪涌了上来,我的心仍是委屈的......
这个类是下午的第一堂课,房子似乎寒冷的不仅仅是中午吃晚饭,肚子就开始叫,真是又冷又饿的胡言乱语,我开始觉得自己是不是有点太多了,其实在中午,而不是故障的母亲,想,“嘿,你的母亲在楼下等你吧!你快去吧!”一个学生对我哭了,这是真的,亲爱的,外面那么冷,我冲了出来, ,她依然是那个熟悉的身影,我走过去,像与他们的母亲说,“对不起,不能再等我说话,她拿出一个盒子,说:”倩倩中午,都不是母亲,不能回来了,你挨饿,我很快就送来给你,去吃饭,但还热!来吧,来吧! “瞬间,心里像打翻了五味瓶,什么有味道,但更多的悔恨与自责,我看了起来红紫红紫冷冻,然后发现母亲的手,并没有带手套,面对风红色的痕迹,这些年来已攀升了对她的的努力,掩盖了母亲的额头,我的眼泪再次流了下来,我没有让我的母亲看到,笑着说:“来吧,来吧!水稻耐冷,不好吃!我走了!“我头也没抬,只声道的声音”嗯“了,等我再抬头时,我的母亲已经走得很远,只留给我一个背影,像这一回的意义,但他的母亲我的爱,我带了午餐,和对眼睛的泪水未干,长期在风中,想了很多...
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第1个回答  2012-12-03
背影(法语版)
背影作者:朱自清 我与父亲不相见已二年余了,我最不能忘记的是他的背影。那年冬天,祖母死了,父亲的差使也交卸了,正是祸不单行的日子。我从北京到徐州打算跟着父亲奔丧回家。到徐州见着父亲,看见满院狼藉的东西,又想起祖母,不禁簌簌地流下眼泪。父亲说:“事已如此,不必难过,好在天无绝人之路!” Mon père et moi ne nous étions pas vu depuis plus de deux ans et la chose que je ne peux vraiment pas oublier est son ombre. Cet hiver-là, ma grand-mère est décédée et un malheur ne venant jamais seul, mon père a perdu son emploi ; j’allais de Beijing à Xuzhou avec l’intention de rentrer au pays avec mon père pour les funérailles. Une fois à Xuzhou, je suis allé voir mon père et j’ai constaté le désordre qui régnait dans toute la maison, j’ai pensé à ma grand-mère et je n’ai pu retenir mes larmes. Mon père me dit alors : « C’est ainsi, il ne faut pas s’attrister, par chance, le Ciel n’entrave jamais totalement le chemin des hommes ». 回家变卖典质,父亲还了亏空;又借钱办了丧事。这些日子,家中光景很是惨淡,一半因为丧事,一半因为父亲赋闲。丧事完毕,父亲要到南京谋事,我也要回北京念书,我们便同行。 De retour au pays, mon père vendit et mis en gage ses biens pour rembourser ses dettes et emprunta de l’argent pour régler les funérailles. Durant cette période, la situation à la maison était très sombre, en partie à cause des funérailles et en partie à cause du licenciement de mon père. Une fois les funérailles finies, il devait aller à Nanjing pour chercher du travail et je voulais rentrer à Beijing pour étudier, aussi sommes-nous partis ensemble. 到南京时,有朋友约去游逛,勾留了一日;第二日上午便须渡江到浦口,下午上车北去。父亲因为事忙,本已说定不送我,叫旅馆里一个熟识的茶房陪我同去。他再三嘱咐茶房,甚是仔细。但他终于不放心,怕茶房不妥帖;颇踌躇了一会。其实我那年已二十岁,北京已来往过两三次,是没有什么要紧的了。他踌躇了一会,终于决定还是自己送我去。我再三劝他不必去;他只说:“不要紧,他们去不好!” Le jour de mon arrivée à Nanjing, des amis m’avaient invité à visiter les alentours. Le lendemain matin, je devais traverser le Changjiang pour me rendre à Pukou et l’après midi je devais prendre le train pour partir dans le nord. Mon père étant très occupé, il était entendu qu’il ne m’accompagnerait pas à la gare, et il demanda à un serveur de l’hôtel qu’il connaissait bien de m’accompagner. Il recommanda à maintes reprises au serveur de bien s’occuper de moi. Craignant que le serveur ne soit pas à la hauteur, mon père n’était pas rassuré et hésita un moment. En réalité, j’avais 20 ans, j’étais allé à Beijing deux ou trois fois, et il n’y avait pas de quoi s’inquiéter. Il hésitait et décida finalement de m’accompagner lui-même. J’essayais de l’en dissuader, mais il dit : « Ce n’est pas grave, j’irais moi-même ». 我们过了江,进了车站。我买票,他忙着照看行李。行李太多了,得向脚夫行些小费才可过去。他便又忙着和他们讲价钱。我那时真是聪明过分,总觉他说话不大漂亮,非自己插嘴不可,但他终于讲定了价钱;就送我上车。他给我拣定了靠车门的一张椅子;我将他给我做的紫毛大衣铺好座位。他嘱我路上小心,夜里要警醒些,不要受凉。又嘱托茶房好好照应我。我心里暗笑他的迂;他们只认得钱,托他们只是白托!而且我这样大年纪的人,难道还不能料理自己么?唉,我现在想想,那时真是太聪明了! Nous traversâmes le fleuve et entrâmes dans la gare. Alors que j’achetais les billets, il s’occupait de mes bagages. Puisqu’il y avait trop de bagages, il a fallu marchander et donner un pourboire aux porteurs. Mon père était occupé à marchander le prix avec eux. A cette époque, je me trouvais très malin et trouvant que mon père ne pouvait négocier, je n’ai pu m’empêcher d’intervenir dans la conversation. Mais il négocia finalement le pourboire et m’accompagna à entrer dans le train. Il me choisit une place près de la porte ; j’étendais sur le siège le manteau de fourrure qu’il m’avait fait faire. Il m’exhorta de faire attention pendant le voyage, de ne dormir que d’un œil la nuit et de ne pas prendre froid. Il demanda au serveur de bien prendre soin de moi. Je riais intérieurement de ses paroles inappropriées ; ces gens-là ne connaissaient que l’argent, leur recommander de veiller sur moi était vain. De plus, j’étais un adulte, était-il possible que je ne puisse pas me débrouiller tout seul ? Ah, quand j’y repense aujourd’hui, j’étais vraiment prétentieux à l’époque ! 我说道:“爸爸,你走吧。”他往车外看了看说:“我买几个橘子去。你就在此地,不要走动。”我看那边月台的栅栏外有几个卖东西的等着顾客。走到那边月台,须穿过铁道,须跳下去又爬上去。父亲是一个胖子,走过去自然要费事些。我本来要去的,他不肯,只好让他去。我看见他戴着黑布小帽,穿着黑布大马褂,深青布棉袍,蹒跚地走到铁道边,慢慢探身下去,尚不大难。可是他穿过铁道,要爬上那边月台,就不容易了。他用两手攀着上面,两脚再向上缩;他肥胖的身子向左微倾,显出努力的样子,这时我看见他的背影,我的泪很快地流下来了。我赶紧拭干了泪。怕他看见,也怕别人看见。我再向外看时,他已抱了朱红的桔子往回走了。过铁道时,他先将桔子散放在地上,自己慢慢爬下,再抱起桔子走。到这边时,我赶紧去搀他。他和我走到车上,将桔子一股脑儿放在我的皮大衣上。于是扑扑衣上的泥土,心里很轻松似的。过一会儿说:“我走了,到那边来信!”我望着他走出去。他走了几步,回过头看见我,说:“进去吧,里边没人。”等他的背影混入来来往往的人里,再找不着了,我便进来坐下,我的眼泪又来了。 Je dis : « Papa, tu peux y aller. » Il regarda hors du train et dit : « Je vais acheter quelques mandarines. Reste ici, ne bouge pas. » Je voyais de l’autre côté du quai quelques clients attendre. Pour y arriver, il fallait traverser le chemin de fer, descendre puis remonter de l’autre côté. Mon père était gros, passer par là lui demandait de gros efforts. Je voulais d’abord y aller, mais il refusa, aussi le plus simple fut de le laisser y aller. Je le vis, portant son petit chapeau noir, sa jaquette noire, sa longue tunique sombre aller d’un pas mal assuré jusqu’au bord du quai et descendre, sans trop de difficultés. Mais après avoir traversé le chemin de fer, il a fallu remonter sur le quai, ce qui n’était pas si facile. Il se hissa de ses deux mains sur le quai, poussa avec ses jambes ; pencha légèrement son corps obèse vers la gauche, trahissant son effort. C’est à ce moment, où j’ai vu sa silhouette que mes larmes se sont mise soudainement à couler. Je me suis dépêché de sécher mes larmes, de peur que mon père ou que quelqu’un d’autre ne les voit. Lorsque je regardais à nouveau vers l’extérieur, il serrait contre lui les mandarines luisantes et revenais vers moi. Quand il a traversé le chemin de fer, il a d’abord posé les mandarines par terre, est descendu lentement et a reprit ses mandarines. A ce moment, je suis vite allé l’aider. Nous sommes monté dans le wagon et il a mis toutes les mandarines sur mon manteau en cuir. Ensuite, il s’épousseta d’un air détaché et me dit : « J’y vais, envois une lettre quand tu arrivera !» Je l’ai regardé partir. Il a fait quelques pas, a tourné la tête vers moi et m’a dit : « Rentre, il n’y a personne à l’intérieur. » J’ai attendu que sa silhouette se mêle aux gens qui entraient et je ne l’ai plus vu, aussi me suis-je assis et mes larmes ont commencé à couler. 近几年来,父亲和我都是东奔西走,家中光景是一日不如一日。他少年出外谋生,独立支持,做了许多大事。哪知老境却如此颓唐!他触目伤怀,自然情不能自已。情郁于中,自然要发之于外;家庭琐屑便往往触他之怒。他待我渐渐不同往日。但最近两年不见,他终于忘却我的不好,只是惦记着我,惦记着我的儿子。我北来后,他写了一信给我,信中说道:“我身体平安,惟膀子疼痛厉害,举箸提笔,诸多不便,大约大去之期不远矣。”我读到此处,在晶莹的泪光中,又看见那肥胖的、青布棉袍黑布马褂的背影。唉!我不知何时再能与他相见! Ces dernières années, mon père et moi étions très affairés et la situation à la maison se dégradait. Durant sa jeunesse il avait essayé de gagner sa vie au dehors, d’être indépendant et avait fait beaucoup de grandes choses. Comme la situation s’est dégradée ! Au soir de sa vie, on ne pouvait s’empêcher de penser qu’il faisait peine à voir. Quand sa frustration était trop grande, sa nature ressortait ; et la moindre chose réveillait sa colère. Il me traitait peu à peu différemment. Mais les deux dernières années où nous ne nous sommes pas vus, il a enfin oublié tout ce qui nous séparait, il s’est enfin soucié de moi et de mon fils. Après que je sois arrivé dans le nord, il m’a envoyé une lettre qui disait : « Je suis en bonne santé, seuls mes bras me font extrêmement souffrir, l’utilisation des baguettes, d’un stylo, autant de choses incommodes. Je ne vais pas tarder à mourir ». En lisant ces mots, je me rappelais dans les larmes cet homme gros, cette silhouette en tunique de coton noire, portant une jaquette noire. Ah ! Je ne sais pas quand je pourrais le revoir. A Beijing, octobre 1925来自:求助得到的回答
第1个回答  2012-12-03

第2个回答  2012-12-04
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第3个回答  推荐于2017-09-24
Mon père ne répondait pas eu plus de deux ans, et je ne peux pas oublier son dos.
Cet hiver-là, ma grand-mère est morte, le père a perdu son emploi, et malheur n'arrive jamais seul. Je suis de Pékin à se joindre à Xuzhou père à la maison funéraire. Pour Xuzhou père de renom, a vu la maison plein de choses en désordre, ils pensent à la grand-mère, les larmes ne peux pas m'empêcher bruissaient. Le père a dit: «La chose a été si, ne vous sentez pas mal, bon et doit avoir un moyen!"
Maison à vendre une promesse faite par le père de la pénurie; emprunter de l'argent pour faire les funérailles. Ces jours-ci, la scène est très sombre maison, et l'autre moitié à cause de l'enterrement, moitié parce que son père qui traînent. Après l'enterrement, le père d'aller à Nanjing pour chercher un emploi, je dois retourner à Pékin pour étude, nous regardons.
Nanjing à un ami à propos de traîner, transportant jour, matin devront traverser la rivière pour Pukou après-midi à bord du train vers le nord. Son père était trop occupé, il a été difficile de donner, ne m'envoyez pas de m'accompagner à appeler un garçon d'hôtel familier. Il a maintes fois demandé au serveur, très attentivement. Mais il a finalement assuré les offices peur mauvaises avec des postes; hésité pendant un bon moment. Mes années ont été de deux ans, avait parcouru deux ou trois fois, ce n'est pas ce qui importe. Il hésita un moment, et a finalement décidé de m'envoyer à. Je n'ai cessé de lui conseilla de ne pas aller, il dit seulement: "Ce n'est pas grave, ils vont mal!"
Nous avons traversé la rivière, dans la station. J'ai acheté le billet, il était trop occupé pour s'occuper des bagages. Trop beaucoup de bagages, frais de ligne trop faible pour les porteurs avant dans le passé. Il a accusé occupé et ils négocient. J'étais vraiment intelligent aussi, je sentais qu'il parlait peu jolie, non interrompu pas, mais il a finalement ils ont mis le prix; m'envoyait ma voiture. Il m'a choisi définir une chaise près de la porte, manteau de laine pourpre qu'il m'a donné à faire, je vais places pavées. Il m'a demandé de prudent sur la route la nuit pour être vigilant, ne pas avoir froid. Il a également demandé au serveur de prendre bien soin de moi. J'ai ricané à son littérale d'esprit; Ils ne reconnaissent que l'argent qu'ils ont été chargés de tout accessoire blanc! Et les gens de mon âge, ne prenez pas soin de lui-même.? Eh bien, je pense, j'étais vraiment trop intelligent!
J'ai dit: «Papa, tu vas." Il a regardé à l'extérieur du véhicule a dit: «. J'ai acheter quelques oranges vous ici, ne pas se déplacer" Je vois un sell-side quelques-uns de la clôture plate-forme extérieure d'attente pour les clients. Je suis allé sur le côté de la plate-forme à traverser la voie ferrée, a dû sauter et grimper. Le père était un gros homme, passèrent pas être facile pour lui. Je dois y aller, il a refusé, et a dû le laisser partir. J'ai vu qu'il portait une calotte noire, vêtu d'une veste noire, sombre robe de drap bleu, entraver vers le côté de chemin de fer, se pencha lentement, mais en cas de catastrophe. Mais il était de traverser les voies à grimper sur le côté de la plate-forme, n'est pas facile. Il grimpe au-dessus des deux mains, les pieds vers le haut rétrécir, inclinaison du corps vers la gauche obésité, montrant les efforts ressemble, quand je vois son dos, mes larmes couler rapidement. Je me suis rapidement les essuya. Peur qu'il a vu, mais aussi peur d'être vus. Quand je regardais, il doit détenir les oranges rouges revenir en arrière. Traverser la voie ferrée quand il oranges premier éparpillés sur le sol, descendit lentement, puis repris oranges aller. Sur le côté pour le moment, je me suis dépêché à son secours. Lui et je suis allé à la voiture, les oranges péremptoirement enfants sur mon manteau de fourrure. Alors marqué couche de boue, et mon cœur est très facile à aimer. Après un certain temps, a déclaré: «Je vais aux lettres autre côté!" Je l'ai regardé sortir. Il fit quelques pas, se retourna vers moi et me dit: ". Allez à l'intérieur, personne ne" Son dos mélangé avec des gens qui vont et viennent, n'en trouve pas, je viendrai à vous asseoir, mes larmes coulaient à nouveau a.
Ces dernières années, mon père et moi voyageons situation familiale en pis. Sa jeunesse de leur propre chef, faire un support indépendant de nombreux événements. Le Laojing façon inattendue si déserter! Il a attiré l'attention du cœur brisé, la situation naturelle ne leur est propre. Love Yu, naturel de la chevelure de l'extérieur, un peu soulagé de le mettre en colère. Il me traitait aller maintenant. Mais ces deux dernières années, mais non, il a fini par oublier mon mal, que de penser à moi, en pensant à mon fils. Nord d'écrire une lettre pour moi, la lettre dit: «la paix de mon corps, à l'exception des douleurs dans les bras est sévère, la levée des baguettes pour ramasser un stylo, le dérangement, la période n'est pas loin de la vérité à propos de Go Big", je lis ici luisant larmes, vu que l'obésité, robe de drap vert de tissu veste noire mandarin dos. Hélas! Je ne sais pas quand je rencontre de nouveau avec lui!本回答被提问者采纳
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